jeudi 25 août 2016

Dieu mange tout (... toujours à propos du caca, du pipi, du capitalisme sous toutes ses formes)

Dans le cochon tout se mange et
c’est aussi le cas
du pissenlit (la racine, les feuilles, les fleurs)
de l’autruche (même le bec et les plumes servent à quelque chose)
de l'esclave, de l'ilote, du dalit et du paria, du captif, du serf, du moujik, du coolie, du fellah, du mineur et du creuseur, du coupeur de cannes à sucre ou de régimes de noix de palme, du croquant et du prolétaire
du prisonnier, du déporté, du déplacé, du réfugié, de l'immigré, du sans-papiers, du refoulé, de l'expulsé.

Dieu mange tout.






















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